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Il y a dix ans déjà, j'avais participé à des cours de paléographie moderne organisé par l'Association des amis des Archives de l'Anjou aux AD de Maine et Loire. Ce cycle avait porté sur la paléographie moderne des XVIè et XVIIIè siècles.

Nous avions étudié 8 documents :

- un extrait des registres du Parlement traitant une affaire criminelle, écrit avec la même écriture qu'une demande de jugement faite la même année par une de mes ancêtres, mais qui n'est pas signé par la même personne (1776),
- un contrat d'apprentissage (1762) rédigé par François Dupré notaire,
- une lettre du roi, convoquant le ban et l'arrière ban de la province d'Anjou (1695),
- un codicille rédigé par René Raffray notaire royal, calligraphié dans une belle écriture (paradoxalement plus facile à lire car régulière) (1667), en belle écriture gothique cursive
- un procès entre les doyens chanoines du chapître de l'église d'Angers contre l'abesse du Ronceray (1666), en gothique cursive plus spontanée
- un autre jugement (1659), en gothique
- un contrat d'acquets (1628), en gothique cursive
- un legs fait aux abbesses de Fontevrault (1642)
- un document de présentation de la chapelle de petite mule pour obtenir la Collation du Chapitre de l'église d'Angers - par Demoiselle Jeanne Berruyer et Messire René le Royer, prêtre - (1686) (la calligraphie est intéressante là aussi, en gothique cursive, mais un peu moins facile à lire).
Il serait intéressant de poursuivre ces formations concernant le même période dans le niveau de perfectionnement.
 
Cela m'a d'autant plus intéressée qu'à cette époque, j'avais commencé à travailler dans un groupe à des activités de calligraphie, ce qui me plaisait beaucoup.
 
 
 
 
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Tag(s) : #généalogie30
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