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Moulins sur la Mayenne à Château-Gontier
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La Mayenne est une rivière qui prend sa source dans l'Orne au Mont des avaloirs, et traverse ensuite les départements de Mayenne et du Maine-et-Loire. Elle reçoit un grand nombre de rivières qui constituent le plus important réseau fluvial affluent de la rive droite de la Loire.
"Après sa naissance au pied du mont des Avaloirs à 344 mètres d'altitude, la Mayenne coule d'est en ouest jusqu'à Sept-Forges, pour ensuite prendre une direction nord-sud. Elle entre en Maine-et-Loire près de La Jaille-Yvon, et reçoit un de ses plus gros affluent, l'Oudon, au-dessous du Lion-d'Angers. Au-delà de Cantenay-Épinard, elle conflue avec la Sarthe, grossie du Loir, et forme l'île Saint-Aubin en amont d'Angers. La réunion des deux cours d'eau donne naissance à la Maine qui passe à Angers et à Bouchemaine avant de se jeter dans la Loire à la Pointe." (Wikipedia)
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Ses principaux affluents sont (d'amont en aval) :
l'Aisne, 27,2 km, la Gourbe, 24,4 km, la Vée, 23,7 km, la Varenne, 59,9 km, la Colmont, 50,4 km, l'Aron, 35,9 km, l'Ernée, 65,3 km, la Jouanne, 58,5 km, le Vicoin, 46,7 km, l'Ouette, 35 km, et l'Oudon, 103,3 km
Les moulins sur la Mayenne de Château-Gontier à Angers :
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Château-Gontier
Il existait autrefois de nombreux autres moulins, mais la plupart furent détruits en 1858 pour faciliter la circulation des bateaux.
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Moulin du Pendu
Le 17 septembre 1991, le moulin du Pendu était abattu : il "était devenu beaucoup trop dangereux" notamment pour les usagers de la rivière, comme pour les promeneurs en péniches. "La toiture était en très mauvais état." Les pigeons avaient élu domicile dans le moulin. " Extrait du journal Haut-Anjou"
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Ménil
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Bressac était un moulin à farine, supprimé en 1867 à la suite des travaux de canalisation de la Mayenne.
Le moulin de la Gourre, cesse, de fonctionner seulement en 1956.
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La Jaille-Yvon
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Un moulin existait déjà au XVè siècle; il est détruit vers 1863 et on y construit un nouveau moulin à farine qui fonctionnera jusqu'au début des années 1970.
Il est occupé par la famille DESCHERES à la fin du XVIIè siècle et au tout début du XVIIIè siècle.
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Chambellay
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Le moulin de la Roche
Deux moulins existaient à la Roche avant 1710. Les moulins de la Roche sont vendus en 1810 par Joseph Richou.
Le grand moulin, construit en 1868 se transforme en 1921 grâce à une machine à vapeur et en 1943 il est électrifié. Il fonctionne jusqu'en 1960.
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Michel GUILLEUX fils de Joseph et Marie BURGEVIN et Joseph fils de Mathurin GUILLEUX, le premier en 1775, et le second en 1819
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Le moulin neuf
Complémentaire du moulin de la grande Roche au début du XVIIè siècle, il appartenait à la famille Richou qui les a vendus en 1810 à François Lemoine*,
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Le moulin du petit et celui du grand Charray
Ces moulins n'existent plus.
Seul, le lieu -dit, est encore présent sur la rive gauche de la Mayenne
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Jacques et Michel GUILLEUX, fils de Joseph et Marie
BURGEVIN y ont travaillé de nombreuses années
à la fin du XVIIIè siècle.
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 Michel Guilleux, fils de Joseph et Marie BURGEVIN et Joseph fils de Mathurin GUILLEUX, le premier en 1775, et le second en 1819 y ont travaillé.
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Le moulin du rideau de la saulaie
Deux générations des familles COCHIN et SOREAU y ont travaillé dans la deuxième partie du XVIIIè siècle.
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Le moulin de l'écluse
Avant 1858, existait un moulin très ancien. A cette époque, il est entièrement reconstruit. Il fonctionnera encore au début du XXè siècle.
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Un moulin fonctionnait sur la rive gauche comme l'indique le plan ci-contre
Un autre plus petit lui faisait face sur le territoire du Lion d'Angers, probablement celui qui a été détruit en 1859 tout comme celui de Ragon.
On y trouve Michel BURGEVIN fils de Michel et Marie OLLIVIER dans la première moitié du XVIIIè, des FRANCOIS descendants de Madeleine Marquis par une des branches et de Michel Burgevin et Marie Ollivier par l'autre, dans la seuxième moitié du XVIIIè.
Faisant face à l'isle Briand située au Lion d'Angers, le moulin dépendait de Thorigné-d'Anjou.
Joseph COCHIN, petit-fils d'Etienne COCHIN meunier à Ragon y vivait en 1854
De nombreux meuniers issus de la famille GUILLEUX depuis Joseph, époux de Madeleine Marquis au tout début du XVIIIè, y ont travaillé.
Plusieurs articles, ici, y font référence :
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Ce moulin a été détruit en 1859.
Etienne COCHIN y travaille à partir de 1754 environ. Il sera le grand-père de Perrine Burgevin, épouse de Joseph Guilleux.
Son fils Louis COCHIN y demeurera à son tour.
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Les moulins de Grez
Trois moulins ont fonctionné au bourg de Grez-Neuville.
Un autre se situait au milieu de la rivière, il a été détruit en 1867.
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| C'est peut-être dans ce moulin que sont arrivés les GUILLEUX de Brain. Cette branche y a vécu jusqu'environ 1750. | |
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Le moulin de Sautré
Des éléments de ce moulin daterait du moyen-âge. Pour le reste, il daterait du XVIIIè siècle. Le Grand moulin "implanté sur une digue d'origine médiévale"
Le petit moulin
datant des 17e siècle, 19e siècle et 20e siècle.
A noter qu'il apparaît, sur le cadastre napoléonien, un moulin à vent dénommé "moulin de Sautret".
Les GUILLEUX de la branche de Joseph et Marie Burgevin ; ils ont cotoyé les FRANCOIS et RICHOU.
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Le moulin de Bel-Air
De nombreux moulins à eau et à vent étaient installés au bord de la Mayenne :
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Autres sources :
- AD49
- cartes diverses (Cassini, Google-Earth)